On reprend depuis le début. A la suite de la censure de la loi Molac par le conseil constitutionnel (21 mai 2021), le conseil de droits de l'homme de l'ONU a formulé des demandes d'éclaircissements auprès du gouvernement, le 31 mai 2022.
Cette demande étant restée sans réponse, l'IEO a écrit à la Première ministre, un an plus tard, en mars 2023.
L'IEO reçoit une réponse (qui n'en est pas une) du cabinet de la Première ministre et qui renvoie le bébé au ministère de l'Education Nationale.
Le Haut commissariat aux droits de l'homme et l'IEO sont toujours en attente d'éclaircissements de la part du gouvernement français.
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